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A qui appartient le corps du linceul de Turin ?

A qui appartient le corps du linceul de Turin ? Le fruit de l’imagination d’un peintre à l’origine d’un « faux médiéval » ? A un autre homme que le Christ ? Au Jésus de l’histoire ? L’image s’est-elle déposée de manière naturelle ou autrement ? Suite de notre dossier spécial tiré du livre de Frédéric Guillaud, Catholix reloaded, et librement adapté pour notre site LinceulTurin.net.

Plusieurs hypothèses scientifiques sont possibles.

Le linceul de Turin est soit :

  1. Une image artificiellement réalisée de main d’homme.
  2. Une image naturellement déposée par le corps d’un autre homme que le Christ.
  3. Une image naturellement déposée par le corps du Christ.
  4. Une image surnaturellement déposée par le corps du Christ.

Pourquoi les deux premières hypothèses sont fausses

La première hypothèse est évidemment exclue par les données que nous venons de rappeler dans notre précédent article : l’image n’est pas faite de peinture, ni d’une quelconque substance artificielle. Elle résulte d’un pur processus physico-chimique, n’engageant que le tissu et le corps, sans opérateur extérieur ni substance ajoutée. L’hypothèse d’une image artificielle suppose en outre que le faussaire ait eu, 1 600 ans avant l’invention de la photographie, une idée de ce que rendrait un tirage négatif de son œuvre. Plus difficile encore, il aurait dû prévoir que des techniques très pointues de la fin du XXième siècle permettraient de découvrir la bilirubine, d’identifier le pollen et d’analyser les minéraux présents sur le tissu. Quelles raisons aurait-il eu, sinon, d’en saupoudrer le linceul ? Tout cela est absurde. Bref, l’hypothèse de la fabrication artificielle est intenable.

Passons aux deux hypothèses suivantes

Elles ont un point commun : elles supposent qu’un corps humain réellement supplicié a été enveloppé dans le linceul et y a déposé, naturellement, son image. Elles partagent aussi deux graves difficultés : d’une part, on ne connaît aucun processus physico-chimique naturel susceptible de déposer spontanément une telle image sur un tissu (en d’autres termes : quand on met un cadavre dans un linceul, il n’y laisse pas une image de lui-même !) ; d’autre part, même en admettant qu’une image puisse se former par contact, elle devrait présenter une déformation panoramique, absente dans notre cas. Admettons tout de même qu’on découvre un phénomène rare, dû à des conditions très particulières, capable d’expliquer la formation de l’image : un certain nombre de réactions chimiques ou électriques sont susceptibles de produire une image comme celle du linceul de Turin, mais les scientifiques n’arrivent pas à expliquer comment de telles réactions auraient pu avoir lieu à la surface du cadavre. Les trois phénomènes le plus souvent avancés sont : une sorte de « cuisson » (réaction de Maillard) ; une ionisation très puissante (« effet Corona ») ; un bombardement de neutrons dû à un tremblement de terre (1).

Nous dirons alors ceci : soit il s’agit d’un homme torturé exactement comme le Christ, soit il s’agit du Christ. Dans le Premier cas, il faut imaginer qu’un sadique a fait subir le supplice de la crucifixion à un malheureux, en suivant soigneusement les descriptions de la Passion dans les Évangiles, en y ajoutant quelques détails tirés d’une connaissance extraordinaire des pratiques romaines de torture et de leurs instruments. Le linceul de Turin, miroir de la Passion des Evangiles ?

L’hypohèse « du sadique » n’est pas crédible.

Pourquoi ? Eh bien d’abord parce que le faussaire-sadique ne pouvait pas raisonnablement croire que son opération laisserait une image SUT le linceul, puisque d’habitude les cadavres ne laissent pas d’image d’eux-mêmes sur les linceuls ! Réfléchissons bien à ceci : le faussaire-sadique n’aurait pu entreprendre son opération que s’il avait pensé, du fait de son expérience passée, pouvoir en tirer une image précise sur le linceul. Or, il ne pouvait pas le croire puisque cela n’arrive pas en temps normal (la science est obligée d’invoquer des phénomènes extraordinaires). Dès lors, pourquoi avoir tenté une telle chose ? À quoi bon raffiner la torture, en respectant Tous les détails historiques, s’il n’en escomptait aucun résultat ? Autre question : par quelle étrange piété un homme vivant à l’époque du Christ, où même un ou deux siècles après, aurait-il voulu fabriquer une preuve de la mort de Jésus (dont personne ne doutait), entreprenant pour cela de torturer à mort un innocent ?

La seule version logiquement tenable de l’hypothèse du sadique consisterait à dire qu’il n’avait pas pour objectif d’obtenir une image du supplicié, et que cette dernière a été un effet fortuit, non délibéré. Le sadique n’était pas doublé d’un faussaire ; il se serait simplement borné à faire subir la passion du Christ à sa victime, avant de l’enrouler dans un linceul, sans but particulier. « Just for fun ». Qui peut croire à ce scénario digne de Saw V ?

Le plus probable, d’un point de vue scientifique, est donc que l’image a été déposée par le corps de Jésus lui-même. Rappelons que la mort du Christ et son ensevelissement sont par ailleurs bien attestés par l’histoire. Il est donc superflu, d’un point de vue scientifique, d’invoquer l’existence d’un deuxième cadavre
identique à celui du Christ. Le principe du « rasoir d’Occam » — ou principe d’économie — s’applique ici sans problème : il ne faut pas multiplier les entités sans nécessité.

Lire la suite de notre dossier spécial :

Autres éléments de ce dossier :

 

 


Notes

(1) Sur cette dernière et très récente hypothèse, lire : L. Carpinteri, G. Lacidogna, O. BorLa, « Is the Shroud of Turin in relation to the Old Jerusalem historical earthquake ? » Meccanica — An International Journal of Theoretical and Applied Mecanics, janvier 2014, Springer.

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