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Le linceul de Turin serait-il le signe de Jonas ?

Si le Christ a été enveloppé dans le Linceul de Turin, c’était il y a 2000 ans. En lisant le chapitre 20 de l’Evangile de Jean, on apprend que Marie-Madeleine et Pierre ont vu le Linceul dans le tombeau vide. Mais Jean ne nous dit pas que quelqu’un l’ait récupéré… Alors comment est-il arrivé jusqu’à nous ? Le Suaire aurait pu disparaître dans plusieurs incendies et nous ne serions pas là à nous poser toutes ces questions. Et si le Linceul de Turin était un signe donné par Dieu pour notre Foi ? Un truc du genre : « comme l’Eglise, il a traversé les siècles »… Entretien avec l’écrivain catholique Dominique Daguet, spécialiste du Saint Suaire et Président de l’Association Nationale pour le Développement de l’Action Spirituelle.

Que voulez-vous dire lorsque dans votre livre vous parlez du Linceul comme étant le « signe de Jonas » ?

Il n’est pas question de prétendre recouvrir exactement ce que le Christ entendait lorsqu’Il répondit aux Pharisiens qu’Il ne donnerait plus qu’un signe, celui de Jonas. Il avait probablement en vue Sa résurrection. Mais il est tout à fait légitime de penser que le Signe de Jonas est un signe de conversion : la conversion qui suivit la prédication faite aux Ninivites pour leur annoncer l’imminence du châtiment que Dieu leur réservait. Or le Linceul de Turin convertit, et il convertit directement : nous le savons, de nombreux visiteurs se sont mués, lors des ostensions, en pèlerins en passant devant l’image qu’ils étaient venus voir par curiosité intellectuelle, peut-être ou sans doute poussés par l’Esprit. Ils voyaient devant eux l’image de Celui qui avait passé trois jours dans le tombeau, comme Jonas était resté trois jours dans le ventre d’un « gros poisson ». Et comme Jonas avait été extradé de ce ventre, le Christ fut extradé de la mort : le signe de cet événement unique était devant ces visiteurs, ils l’ont intuitivement compris, et ils sont repartis convaincus par ce signe, c’est-à-dire par la grâce agissante en eux, la grâce qui a souvent besoin pour nous atteindre d’être relayée par un signe.

Quels signes « lisibles » de la résurrection du Christ le Saint Suaire renferme-t-il ?

Le Linceul n’est pas la preuve indiscutable de la résurrection, au sens où il obligerait à croire en la résurrection, mais il en est l’indice fort. Quel indice ? Le fait, quant à lui incontestable, que le corps du supplicié qu’il a enveloppé n’a pu le quitter de façon naturelle. Nous sommes arrivés à cette conclusion par deux constatations majeures. La première s’impose quand on compare le linge à l’évangile de Saint Jean : pour cela, il faut revenir au texte grec et non se contenter de la traduction liturgique française, fautive : « Il regarde le Linceul resté là, et le linge qui avait recouvert la tête, non pas posé avec le Linceul, mais roulé à part à sa place ». Or que dit le texte grec ? « Il observe le Linceul affaissé et le suaire qui avait été sur la tête, ce dernier sous le Linceul mais non affaissé et enroulé à sa place. » Le Linceul suit la version corrigée, c’est-à-dire qu’il est d’accord avec le texte grec de Saint Jean… L’évangéliste nous donne à voir directement l’objet de sa surprise : le suaire toujours attaché par ses liens, l’un au cou, l’autre à la taille, le troisième aux chevilles, mais n’abritant plus le corps. Il fallait que le Supplicié soit sorti de ce linge comme une vapeur et non comme un corps solide : « dématérialisé » disent les scientifiques en 1993. Deuxième indice, qui oblige à une conclusion difficile à admettre : cette image est une image impossible, du fait des décalques sanguins qui s’observent à la surface du linge. Ces décalques sont parfaits, ce qui ne peut être car lorsqu’on pose un tissu sur une plaie, la trame de ce tissu s’imbibe de sang qui sèche et adhère fortement à cette trame. Quand on retire le tissu, il faut le séparer du caillot auquel il adhère, ce qui provoque un grand désordre : les fibrines du sang séché se cassent de même que les fibrilles des fibres du tissu. Or sur le Linceul, les décalques en question sont parfaits, d’une perfection que l’on ne doit pas, que l’on ne peut pas normalement constater. Ces faits, qui s’imposent à notre esprit deviennent du même coup des indices forts d’un événement incompréhensible. Les scientifiques, réunis en symposium à Rome en 1993, n’ont pu donner d’autre explication qu’une « dématérialisation », phénomène sans exemple et non-reproductible.

Dieu aurait-il un message à transmettre à notre temps en permettant que le Linceul arrive jusqu’à nous ?

Je ne puis faire ici l’historique du parcours du Linceul depuis la sorti du tombeau jusqu’à ce jour : que l’on sache seulement qu’il aurait pu disparaître de nombreuses fois, purement et simplement. Or il est là, et nous l’avons comme découvert : jamais en effet il n’avait été étudié, décrit, compris comme en ces dernières cinquante années. On a pu à juste titre penser qu’il avait été ainsi gardé de la disparition afin de nous enseigner à la fois sur la passion du Christ et sur sa résurrection, toutes deux inséparables. Je crois qu’il est un signe pour le XXIe siècle, un siècle que l’on peut prévoir tout dévoué à la science, tenté en permanence par la puissance que donne la connaissance. Les jeunes d’aujourd’hui passent presque tous par un enseignement à dominante scientifique qui leur fait perdre l’intuition spirituelle et leur fait penser que l’idée de la résurrection est une idée folle. Or, la contemplation du Linceul et l’étude précise de ce qu’il est, réconcilie l’esprit avec cette promesse du Christ : la science et la foi s’unissent en un même mouvement. Peut-être est-ce là le premier « message » que peut nous délivrer le Linceul.

Que peut apporter le Saint Suaire à la Foi ?

En dehors de susciter un retournement décisif chez certains, le Linceul ne change rien ou n’ajoute rien. Il ne dit rien de plus que les évangiles, mais rien de moins en ce qui concerne par exemple la passion du Christ. Mais il est un extraordinaire stimulant pour la foi. Il permet une méditation beaucoup plus nourrie sur la passion subie par Jésus, donc une réflexion sur ses souffrances et leur signification. Car il me paraît impossible de comprendre de quoi il s’est agi sans qu’aussitôt grandisse en chacun un amour plus fort, plus authentique, pour Celui qui a accepté cela par amour pour nous. Nous comprenons parfaitement que l’incarnation du Christ ne peut être mise en doute car ce n’est pas ici un artifice, ni une illusion que cette image : vraiment la trace d’un homme réel, qui a partagé pleinement notre condition d’homme, notre nature. C’est aussi un stimulant pour notre foi en la résurrection, qu’il ne faut jamais laisser s’affaiblir. De plus, il corrobore l’affirmation de Jésus qu’Il restera avec nous jusqu’à la fin des temps : affirmation qui vise le sacrement de l’eucharistie, mais le Linceul est en lui-même le signe de la vérité de cette promesse, par le fait qu’en lui demeurent des traces sensibles du sang même versé par le Christ sur sa croix.

Propos recueillis par Olivier Malcurat, journaliste

Pour aller plus loin : se procurer le livre Le Linceul du Ressuscité, par Dominique Daguet.

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